L'auteur met en cause l'attitude qui consiste à s'empêcher, sous couvert de progressisme, de critiquer ceux qui confondent religion musulmane et idéologie, ce déni permettant d'éviter le débat autour d'un phénomène politique. Il établit un parallèle avec l'indulgence de certains intellectuels vis-à-vis de régimes totalitaires par le passé. |